Résumé : |
En matière d’assuétudes, la question n’est plus au faut-il ou ne faut-il pas autoriser les salles de consommation à moindre risque, appelées parfois de manière erronée « salles de shoot ». Leur intérêt n’est plus à démontrer, au regard de l’expérience engrangée depuis vingt ou trente ans au niveau international. L’enjeu actuel est de savoir si tous les acteurs bruxellois sont prêts à poser les gestes concrets qui rendront effective l’ouverture de la première salle de consommation à moindre risque du pays. Fin mars dernier, une matinée de réflexion sur le sujet avait été organisée dans le cadre des jeudis de l’Hémicycle du Parlement francophone bruxellois. [Présentation de l'éditeur] |